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16 Apr

les photos d'Avril 2019

Publié par Joël Lassalle

début avril : séjour en Camargue.  Pendant qu'un Airbus A400M fait des exercices à partir de la base aérienne d'Istres,  j'observe une cigogne blanche.  Celle-ci  fait des allers et retours entre son nid et un point d'eau.  Pendant que je la suis lors de son envol, le déclenchement de mon boitier capte la cigogne avec l'Airbus A400M  en arrière-plan.
début avril : séjour en Camargue.  Pendant qu'un Airbus A400M fait des exercices à partir de la base aérienne d'Istres,  j'observe une cigogne blanche.  Celle-ci  fait des allers et retours entre son nid et un point d'eau.  Pendant que je la suis lors de son envol, le déclenchement de mon boitier capte la cigogne avec l'Airbus A400M  en arrière-plan.
début avril : séjour en Camargue.  Pendant qu'un Airbus A400M fait des exercices à partir de la base aérienne d'Istres,  j'observe une cigogne blanche.  Celle-ci  fait des allers et retours entre son nid et un point d'eau.  Pendant que je la suis lors de son envol, le déclenchement de mon boitier capte la cigogne avec l'Airbus A400M  en arrière-plan.
début avril : séjour en Camargue.  Pendant qu'un Airbus A400M fait des exercices à partir de la base aérienne d'Istres,  j'observe une cigogne blanche.  Celle-ci  fait des allers et retours entre son nid et un point d'eau.  Pendant que je la suis lors de son envol, le déclenchement de mon boitier capte la cigogne avec l'Airbus A400M  en arrière-plan.
début avril : séjour en Camargue.  Pendant qu'un Airbus A400M fait des exercices à partir de la base aérienne d'Istres,  j'observe une cigogne blanche.  Celle-ci  fait des allers et retours entre son nid et un point d'eau.  Pendant que je la suis lors de son envol, le déclenchement de mon boitier capte la cigogne avec l'Airbus A400M  en arrière-plan.

début avril : séjour en Camargue. Pendant qu'un Airbus A400M fait des exercices à partir de la base aérienne d'Istres, j'observe une cigogne blanche. Celle-ci fait des allers et retours entre son nid et un point d'eau. Pendant que je la suis lors de son envol, le déclenchement de mon boitier capte la cigogne avec l'Airbus A400M en arrière-plan.

observation en Camargue...  Voici l'oiseau le plus indésiré : l'Ibis sacré.  Oiseau de taille moyenne 65 à 75 cm, envergure de 112 à 124 cm, et un poids de 1200 à 1500 gr.   Il possède un long bec retourné très caractéristique.  Il se nourrit de mollusques, grenouilles, et poissons, mais aussi d'oeufs et de poussins d'oiseaux, comme ceux d'hérons cendrés, mouettes et sternes.  Voici la raison de son rejet.   Il est originaire de l'Afrique sub-saharienne et autrefois en Egypte, où il a été vénéré.  C'est l'oiseau mythique des Egyptiens.   Comment est-il arrivé en France, notamment sur la côte Atlantique et en Camargue ?   Par maladresse...   en effet, cet oiseau s'est échappé au début des années 1990, du parc de Branféré (Bretagne) pour s'installer sur l'Atlantique,   et de la réserve Africaine de Sigean, peuplant ainsi la partie méditerranéenne. Détruisant les nids et les poussins d'espèces protégées, le ministre de l'environnement a donné l'ordre de l'éradiquer en 2013.  Peut-être une décision trop hâtive.

observation en Camargue... Voici l'oiseau le plus indésiré : l'Ibis sacré. Oiseau de taille moyenne 65 à 75 cm, envergure de 112 à 124 cm, et un poids de 1200 à 1500 gr. Il possède un long bec retourné très caractéristique. Il se nourrit de mollusques, grenouilles, et poissons, mais aussi d'oeufs et de poussins d'oiseaux, comme ceux d'hérons cendrés, mouettes et sternes. Voici la raison de son rejet. Il est originaire de l'Afrique sub-saharienne et autrefois en Egypte, où il a été vénéré. C'est l'oiseau mythique des Egyptiens. Comment est-il arrivé en France, notamment sur la côte Atlantique et en Camargue ? Par maladresse... en effet, cet oiseau s'est échappé au début des années 1990, du parc de Branféré (Bretagne) pour s'installer sur l'Atlantique, et de la réserve Africaine de Sigean, peuplant ainsi la partie méditerranéenne. Détruisant les nids et les poussins d'espèces protégées, le ministre de l'environnement a donné l'ordre de l'éradiquer en 2013. Peut-être une décision trop hâtive.

le héron cendré et ses petits.  Observations faites en Camargue.....     le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.
le héron cendré et ses petits.  Observations faites en Camargue.....     le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.
le héron cendré et ses petits.  Observations faites en Camargue.....     le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.
le héron cendré et ses petits.  Observations faites en Camargue.....     le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.
le héron cendré et ses petits.  Observations faites en Camargue.....     le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.
le héron cendré et ses petits.  Observations faites en Camargue.....     le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.
le héron cendré et ses petits.  Observations faites en Camargue.....     le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.

le héron cendré et ses petits. Observations faites en Camargue..... le héron cendré fréquente toutes les eaux douces ou saumâtres à condition qu'elles soient poissonneuses. Pour la reproduction, il recherche des milieux arborés avec de grands arbres pour y établir leur nid. Le nid est fait de branchettes et brindilles avec une coupe sommaire garnie d'éléments végétaux fins. Il est large et plat. Les nids peuvent être utilisés sur plusieurs années. La femelle y dépose 3 à 5 oeufs. L'incubation est assurée alternativement par les 2 parents, et dure environ 26 jours. A la naissance, les poussins ont un aspect comique avec leur duvet blanc dressé sur la tête. Ils quémandent leur pitance par des caquêtements incessants à longueur de journée. Ils sont nourris par les parents qui, sollicités par les coups de bec des petits, régurgitent la nourriture. Les juvéniles séjournent au nid, environ 2 mois, ne volant pas très bien avant l'âge de 55 jours.

nouvelle observation en Camargue  :  l'ibis falcinelle... taille : 66cm, envergure : 80 à 95cm, poids : 500 à 800gr.    L'ibis falcinelle peut sembler noir, mais on s'aperçoit en réalité qu'il est de couleur rouille avec des reflets métalliques verts.  Son bec est long, mince et courbé. Ses longues pattes noires sont adaptées à la marche en milieu aquatique..  Lacs, étangs, marécages, rivières au lit peu profond sont les domaines des ibis falcinelles qui y trouvent des conditions idéales pour la nidification, et les ressources alimentaires. C'est un migrateur. Assez rare en France, même s'il est observé de plus en plus souvent. La population européenne est transsaharienne mais une minorité d'individus passent l'hiver sur les côtes méditerranéennes.  Son bec incurvé lui permet de fouiller la vase et d'y trouver les mollusques, vers, insectes nécessaires à son alimentation. Cette espèce est en déclin en Europe, où son aire de répartition se réduit fortement. La disparition des zones humides due aux drainages et à l'agriculture intensive, la pollution des eaux, et les faibles effectifs sont les grosses difficultés pour conserver ce si bel oiseau.
nouvelle observation en Camargue  :  l'ibis falcinelle... taille : 66cm, envergure : 80 à 95cm, poids : 500 à 800gr.    L'ibis falcinelle peut sembler noir, mais on s'aperçoit en réalité qu'il est de couleur rouille avec des reflets métalliques verts.  Son bec est long, mince et courbé. Ses longues pattes noires sont adaptées à la marche en milieu aquatique..  Lacs, étangs, marécages, rivières au lit peu profond sont les domaines des ibis falcinelles qui y trouvent des conditions idéales pour la nidification, et les ressources alimentaires. C'est un migrateur. Assez rare en France, même s'il est observé de plus en plus souvent. La population européenne est transsaharienne mais une minorité d'individus passent l'hiver sur les côtes méditerranéennes.  Son bec incurvé lui permet de fouiller la vase et d'y trouver les mollusques, vers, insectes nécessaires à son alimentation. Cette espèce est en déclin en Europe, où son aire de répartition se réduit fortement. La disparition des zones humides due aux drainages et à l'agriculture intensive, la pollution des eaux, et les faibles effectifs sont les grosses difficultés pour conserver ce si bel oiseau.
nouvelle observation en Camargue  :  l'ibis falcinelle... taille : 66cm, envergure : 80 à 95cm, poids : 500 à 800gr.    L'ibis falcinelle peut sembler noir, mais on s'aperçoit en réalité qu'il est de couleur rouille avec des reflets métalliques verts.  Son bec est long, mince et courbé. Ses longues pattes noires sont adaptées à la marche en milieu aquatique..  Lacs, étangs, marécages, rivières au lit peu profond sont les domaines des ibis falcinelles qui y trouvent des conditions idéales pour la nidification, et les ressources alimentaires. C'est un migrateur. Assez rare en France, même s'il est observé de plus en plus souvent. La population européenne est transsaharienne mais une minorité d'individus passent l'hiver sur les côtes méditerranéennes.  Son bec incurvé lui permet de fouiller la vase et d'y trouver les mollusques, vers, insectes nécessaires à son alimentation. Cette espèce est en déclin en Europe, où son aire de répartition se réduit fortement. La disparition des zones humides due aux drainages et à l'agriculture intensive, la pollution des eaux, et les faibles effectifs sont les grosses difficultés pour conserver ce si bel oiseau.
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nouvelle observation en Camargue : l'ibis falcinelle... taille : 66cm, envergure : 80 à 95cm, poids : 500 à 800gr. L'ibis falcinelle peut sembler noir, mais on s'aperçoit en réalité qu'il est de couleur rouille avec des reflets métalliques verts. Son bec est long, mince et courbé. Ses longues pattes noires sont adaptées à la marche en milieu aquatique.. Lacs, étangs, marécages, rivières au lit peu profond sont les domaines des ibis falcinelles qui y trouvent des conditions idéales pour la nidification, et les ressources alimentaires. C'est un migrateur. Assez rare en France, même s'il est observé de plus en plus souvent. La population européenne est transsaharienne mais une minorité d'individus passent l'hiver sur les côtes méditerranéennes. Son bec incurvé lui permet de fouiller la vase et d'y trouver les mollusques, vers, insectes nécessaires à son alimentation. Cette espèce est en déclin en Europe, où son aire de répartition se réduit fortement. La disparition des zones humides due aux drainages et à l'agriculture intensive, la pollution des eaux, et les faibles effectifs sont les grosses difficultés pour conserver ce si bel oiseau.

la perruche à collier envahie Paris : Là-haut, sur la cime des arbres des parcs franciliens, vivent désormais ces curieux oiseaux. Venus des forêts tropicales d'Afrique ou d'Inde, ils se donnent en spectacle. Les mâles arborent un liséré noir, qui enserre leur robe feutrée vert clair. D'où le nom, perruche à collier. En France, elles seraient entre 8000 à 10000. Plus de la moitié est aujourd'hui installée en Ile de France. Ils étaient une cinquantaine de volatiles dans les années 1970. Ces oiseaux sont classés dans la catégorie des espèces invasives. Une drôle d'arrivée en France : Au coeur des années 1970, l'exotisme est en vogue. Il devient de bon ton pour les citadins, de posséder des perruches en cage. Les bestioles sont ainsi embarquées à bord d'avions survolant des continents. Elles débarquent à Orly. Une cinquantaine d'entre elles se serait évadée de leurs conteneurs. D'autres auraient suivi vingt plus tard, parvenant à se défaire des barreaux de leur volière entreposée à Roissy Charles de Gaule. Les perruches parviennent à s'implanter en Ile de France. Elles s'installent dans les cavités qu'elles trouvent et elles s'adaptent au climat. Ainsi, sitelles, pics, étourneaux s'en trouvent délogés. Elles deviennent un danger pour d'autres espèces comme les mésanges. Très friande de graines, de bourgeons et de baies, la perruche vole la nourriture de ses voisins, dans les mangeoires d'oiseaux plus petits. L'essentiel de leur nourriture provient pourtant des hommes. La présence de ces grands oiseaux exotiques surprend les promeneurs qui s'arrêtent pour les régaler de quelques miettes de pain. Et ce, malgré l'interdiction de nourrir les animaux dans les parcs.  En France, les perruches aiment aussi s'attaquer aux arbres fruitiers des jardins privés (cerisiers, pruniers, pommiers). Mais l'impact le plus visible de leur présence reste l'ébourgeonnage des arbres.  Pour les spécialistes de la biodiversité, il faut agir avant qu'elles ne soient trop nombreuses. Quelque soit le dénouement, les colonies installées en Ile de France, sont bien ancrées. Au grand dam des riverains, qui se plaignent des piaillements de l'animal. Il est beau, certes, mais bruyant.
la perruche à collier envahie Paris : Là-haut, sur la cime des arbres des parcs franciliens, vivent désormais ces curieux oiseaux. Venus des forêts tropicales d'Afrique ou d'Inde, ils se donnent en spectacle. Les mâles arborent un liséré noir, qui enserre leur robe feutrée vert clair. D'où le nom, perruche à collier. En France, elles seraient entre 8000 à 10000. Plus de la moitié est aujourd'hui installée en Ile de France. Ils étaient une cinquantaine de volatiles dans les années 1970. Ces oiseaux sont classés dans la catégorie des espèces invasives. Une drôle d'arrivée en France : Au coeur des années 1970, l'exotisme est en vogue. Il devient de bon ton pour les citadins, de posséder des perruches en cage. Les bestioles sont ainsi embarquées à bord d'avions survolant des continents. Elles débarquent à Orly. Une cinquantaine d'entre elles se serait évadée de leurs conteneurs. D'autres auraient suivi vingt plus tard, parvenant à se défaire des barreaux de leur volière entreposée à Roissy Charles de Gaule. Les perruches parviennent à s'implanter en Ile de France. Elles s'installent dans les cavités qu'elles trouvent et elles s'adaptent au climat. Ainsi, sitelles, pics, étourneaux s'en trouvent délogés. Elles deviennent un danger pour d'autres espèces comme les mésanges. Très friande de graines, de bourgeons et de baies, la perruche vole la nourriture de ses voisins, dans les mangeoires d'oiseaux plus petits. L'essentiel de leur nourriture provient pourtant des hommes. La présence de ces grands oiseaux exotiques surprend les promeneurs qui s'arrêtent pour les régaler de quelques miettes de pain. Et ce, malgré l'interdiction de nourrir les animaux dans les parcs.  En France, les perruches aiment aussi s'attaquer aux arbres fruitiers des jardins privés (cerisiers, pruniers, pommiers). Mais l'impact le plus visible de leur présence reste l'ébourgeonnage des arbres.  Pour les spécialistes de la biodiversité, il faut agir avant qu'elles ne soient trop nombreuses. Quelque soit le dénouement, les colonies installées en Ile de France, sont bien ancrées. Au grand dam des riverains, qui se plaignent des piaillements de l'animal. Il est beau, certes, mais bruyant.
la perruche à collier envahie Paris : Là-haut, sur la cime des arbres des parcs franciliens, vivent désormais ces curieux oiseaux. Venus des forêts tropicales d'Afrique ou d'Inde, ils se donnent en spectacle. Les mâles arborent un liséré noir, qui enserre leur robe feutrée vert clair. D'où le nom, perruche à collier. En France, elles seraient entre 8000 à 10000. Plus de la moitié est aujourd'hui installée en Ile de France. Ils étaient une cinquantaine de volatiles dans les années 1970. Ces oiseaux sont classés dans la catégorie des espèces invasives. Une drôle d'arrivée en France : Au coeur des années 1970, l'exotisme est en vogue. Il devient de bon ton pour les citadins, de posséder des perruches en cage. Les bestioles sont ainsi embarquées à bord d'avions survolant des continents. Elles débarquent à Orly. Une cinquantaine d'entre elles se serait évadée de leurs conteneurs. D'autres auraient suivi vingt plus tard, parvenant à se défaire des barreaux de leur volière entreposée à Roissy Charles de Gaule. Les perruches parviennent à s'implanter en Ile de France. Elles s'installent dans les cavités qu'elles trouvent et elles s'adaptent au climat. Ainsi, sitelles, pics, étourneaux s'en trouvent délogés. Elles deviennent un danger pour d'autres espèces comme les mésanges. Très friande de graines, de bourgeons et de baies, la perruche vole la nourriture de ses voisins, dans les mangeoires d'oiseaux plus petits. L'essentiel de leur nourriture provient pourtant des hommes. La présence de ces grands oiseaux exotiques surprend les promeneurs qui s'arrêtent pour les régaler de quelques miettes de pain. Et ce, malgré l'interdiction de nourrir les animaux dans les parcs.  En France, les perruches aiment aussi s'attaquer aux arbres fruitiers des jardins privés (cerisiers, pruniers, pommiers). Mais l'impact le plus visible de leur présence reste l'ébourgeonnage des arbres.  Pour les spécialistes de la biodiversité, il faut agir avant qu'elles ne soient trop nombreuses. Quelque soit le dénouement, les colonies installées en Ile de France, sont bien ancrées. Au grand dam des riverains, qui se plaignent des piaillements de l'animal. Il est beau, certes, mais bruyant.
la perruche à collier envahie Paris : Là-haut, sur la cime des arbres des parcs franciliens, vivent désormais ces curieux oiseaux. Venus des forêts tropicales d'Afrique ou d'Inde, ils se donnent en spectacle. Les mâles arborent un liséré noir, qui enserre leur robe feutrée vert clair. D'où le nom, perruche à collier. En France, elles seraient entre 8000 à 10000. Plus de la moitié est aujourd'hui installée en Ile de France. Ils étaient une cinquantaine de volatiles dans les années 1970. Ces oiseaux sont classés dans la catégorie des espèces invasives. Une drôle d'arrivée en France : Au coeur des années 1970, l'exotisme est en vogue. Il devient de bon ton pour les citadins, de posséder des perruches en cage. Les bestioles sont ainsi embarquées à bord d'avions survolant des continents. Elles débarquent à Orly. Une cinquantaine d'entre elles se serait évadée de leurs conteneurs. D'autres auraient suivi vingt plus tard, parvenant à se défaire des barreaux de leur volière entreposée à Roissy Charles de Gaule. Les perruches parviennent à s'implanter en Ile de France. Elles s'installent dans les cavités qu'elles trouvent et elles s'adaptent au climat. Ainsi, sitelles, pics, étourneaux s'en trouvent délogés. Elles deviennent un danger pour d'autres espèces comme les mésanges. Très friande de graines, de bourgeons et de baies, la perruche vole la nourriture de ses voisins, dans les mangeoires d'oiseaux plus petits. L'essentiel de leur nourriture provient pourtant des hommes. La présence de ces grands oiseaux exotiques surprend les promeneurs qui s'arrêtent pour les régaler de quelques miettes de pain. Et ce, malgré l'interdiction de nourrir les animaux dans les parcs.  En France, les perruches aiment aussi s'attaquer aux arbres fruitiers des jardins privés (cerisiers, pruniers, pommiers). Mais l'impact le plus visible de leur présence reste l'ébourgeonnage des arbres.  Pour les spécialistes de la biodiversité, il faut agir avant qu'elles ne soient trop nombreuses. Quelque soit le dénouement, les colonies installées en Ile de France, sont bien ancrées. Au grand dam des riverains, qui se plaignent des piaillements de l'animal. Il est beau, certes, mais bruyant.
la perruche à collier envahie Paris : Là-haut, sur la cime des arbres des parcs franciliens, vivent désormais ces curieux oiseaux. Venus des forêts tropicales d'Afrique ou d'Inde, ils se donnent en spectacle. Les mâles arborent un liséré noir, qui enserre leur robe feutrée vert clair. D'où le nom, perruche à collier. En France, elles seraient entre 8000 à 10000. Plus de la moitié est aujourd'hui installée en Ile de France. Ils étaient une cinquantaine de volatiles dans les années 1970. Ces oiseaux sont classés dans la catégorie des espèces invasives. Une drôle d'arrivée en France : Au coeur des années 1970, l'exotisme est en vogue. Il devient de bon ton pour les citadins, de posséder des perruches en cage. Les bestioles sont ainsi embarquées à bord d'avions survolant des continents. Elles débarquent à Orly. Une cinquantaine d'entre elles se serait évadée de leurs conteneurs. D'autres auraient suivi vingt plus tard, parvenant à se défaire des barreaux de leur volière entreposée à Roissy Charles de Gaule. Les perruches parviennent à s'implanter en Ile de France. Elles s'installent dans les cavités qu'elles trouvent et elles s'adaptent au climat. Ainsi, sitelles, pics, étourneaux s'en trouvent délogés. Elles deviennent un danger pour d'autres espèces comme les mésanges. Très friande de graines, de bourgeons et de baies, la perruche vole la nourriture de ses voisins, dans les mangeoires d'oiseaux plus petits. L'essentiel de leur nourriture provient pourtant des hommes. La présence de ces grands oiseaux exotiques surprend les promeneurs qui s'arrêtent pour les régaler de quelques miettes de pain. Et ce, malgré l'interdiction de nourrir les animaux dans les parcs.  En France, les perruches aiment aussi s'attaquer aux arbres fruitiers des jardins privés (cerisiers, pruniers, pommiers). Mais l'impact le plus visible de leur présence reste l'ébourgeonnage des arbres.  Pour les spécialistes de la biodiversité, il faut agir avant qu'elles ne soient trop nombreuses. Quelque soit le dénouement, les colonies installées en Ile de France, sont bien ancrées. Au grand dam des riverains, qui se plaignent des piaillements de l'animal. Il est beau, certes, mais bruyant.

la perruche à collier envahie Paris : Là-haut, sur la cime des arbres des parcs franciliens, vivent désormais ces curieux oiseaux. Venus des forêts tropicales d'Afrique ou d'Inde, ils se donnent en spectacle. Les mâles arborent un liséré noir, qui enserre leur robe feutrée vert clair. D'où le nom, perruche à collier. En France, elles seraient entre 8000 à 10000. Plus de la moitié est aujourd'hui installée en Ile de France. Ils étaient une cinquantaine de volatiles dans les années 1970. Ces oiseaux sont classés dans la catégorie des espèces invasives. Une drôle d'arrivée en France : Au coeur des années 1970, l'exotisme est en vogue. Il devient de bon ton pour les citadins, de posséder des perruches en cage. Les bestioles sont ainsi embarquées à bord d'avions survolant des continents. Elles débarquent à Orly. Une cinquantaine d'entre elles se serait évadée de leurs conteneurs. D'autres auraient suivi vingt plus tard, parvenant à se défaire des barreaux de leur volière entreposée à Roissy Charles de Gaule. Les perruches parviennent à s'implanter en Ile de France. Elles s'installent dans les cavités qu'elles trouvent et elles s'adaptent au climat. Ainsi, sitelles, pics, étourneaux s'en trouvent délogés. Elles deviennent un danger pour d'autres espèces comme les mésanges. Très friande de graines, de bourgeons et de baies, la perruche vole la nourriture de ses voisins, dans les mangeoires d'oiseaux plus petits. L'essentiel de leur nourriture provient pourtant des hommes. La présence de ces grands oiseaux exotiques surprend les promeneurs qui s'arrêtent pour les régaler de quelques miettes de pain. Et ce, malgré l'interdiction de nourrir les animaux dans les parcs. En France, les perruches aiment aussi s'attaquer aux arbres fruitiers des jardins privés (cerisiers, pruniers, pommiers). Mais l'impact le plus visible de leur présence reste l'ébourgeonnage des arbres. Pour les spécialistes de la biodiversité, il faut agir avant qu'elles ne soient trop nombreuses. Quelque soit le dénouement, les colonies installées en Ile de France, sont bien ancrées. Au grand dam des riverains, qui se plaignent des piaillements de l'animal. Il est beau, certes, mais bruyant.

retour en "terre Sarthoise"....  les hardes de biches se disloquent, car les biches s'isolent pour leur future naissance.   Pour accueillir leur futur faon, les biches prennent le soin de se séparer de leur faon 2018 s'il est né "mâle". Les biches gardent auprès d'elle, uniquement "la bichette" (faon femelle 2018).  Alors les jeunes mâles (appelés hères de 6 mois à 1 an)  sont contraints de se regrouper en harde, parfois accompagné d'un ou plusieurs daguets  (jeunes cerfs de plus d'un an ayant une dague)
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L
Belle balade en Camargue, le sud de la France c'est déjà l'exotisme ! La gorgebleue en Baie de l'Aiguillon, magnifique !
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